• Mensonge ! La Russie ne veut pas la WW3, elle fait tout pour l'éviter au monde

     
     
    Dimanche 27 avril 2014

     

     

    Dossier Spécial Russie

     

     

    Russie-guerre-best-copie-1.jpg.
    Photo qui prouve que la Russie veut la guerre !!!
    trouvée ici :
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    http://www.islametinfo.fr/2013/10/05/video-russie-poutine-futur-prix-nobel-de-la-paix/

     

    Déjà en 1950, la Russie était visée !

    Document d'époque cité par F. Asselineau

    .OTAN-bases-US-par-PC-vers-1950.jpg

     

     

    MeRdia de désinformation, de propagande.

     

    Nobs-Russie.jpg

     

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    Russie-prix-nobel-paix.jpg

     

    La Russie est le meilleur atout pour la Paix

     

    Par Chantal Dupille (eva R-sistons)

     

     

    Propagande de guerre honteuse, à laquelle se prêtent les médias français asservis aux Puissances atlantistes. A Kiev, on accuse la Russie de vouloir la 3e guerre mondiale. Aussitôt la télévision et la Presse reprennent ces fausses rumeurs, ces accusations sans le moindre fondement.

     

    Je le dis, et je le répète clairement : Aucun pays au monde ne tient tant à la paix que la Russie. Car aucun pays au monde n'a autant souffert de la guerre : Plus de vingt millions de morts pour la seule Russie lors de la seconde guerre mondiale, par exemple, et puis Moscou détruite, ses villages aussi, et les récoltes....

     

    Au prix de sacrifices démesurés, la vaillante Russie a vaincu l'armée de Napoléon et celle d'Hitler, elle a libéré le monde du nazisme hitlérien.

     

    Quand on a subi tant d'atrocités, on ne veut plus de guerre. Comme l'Allemagne, d'ailleurs.

     

    La Russie de Poutine est encerclée par les bases de l'OTAN, elle fait tout pour se protéger et protéger les Pro-Russes, en tentant notamment de retrouver une partie de son espace vital, de sa liberté. Mais elle milite pour un monde multipolaire, et elle refuse de s'ingérer dans les affaires des autres, contrairement à l'Occident impérialiste. En Crimée, elle a défendu ses terres, sa base navale, son peuple qui l'a appelée à l'aide. Avec à la clef aucun mort, et un référendum démocratique. Et l'Occident belliciste l'accable de reproches ! Il ne tolère pas qu'elle défende ses intérêts, ses frères de sang, les espaces qui lui restent. L'Occident a tous les droits, la Russie aucun ! Et pour gagner l'Opinion, il travestit la réalité, ment, inverse les rôles. C'est infâme !

     

    Et si la guerre mondiale n'a pas commencé, aujourd'hui, c'est grâce à la Russie qui a stoppé net l'élan meurtrier des Etats-Unis en interceptant les deux premiers missiles lancés sur Damas en 2013, missiles qui devaient être le signal de l'entrée en guerre d'une France au service des intérêts d'Israël. C'est aussi la Russie qui a proposé que la Syrie rende ses armes chimiques, pour apaiser la situation.

     

    Oui, la Russie qui a tant souffert de la guerre fait tout pour l'éviter et l'éviter au monde. La campagne de propagande mensongère à son encontre est un des grands scandales de notre temps; Elle doit sans cesse être dénoncée, au nom de la vérité !

     

    Il est temps de démasquer les imposteurs, et de révéler au monde la réalité : L'Occident prépare en coulisses la 3e guerre mondiale pour masquer son effondrement économique, imposer au monde sa domination, et au passage, provoquer une dépopulation à grande échelle. C'est tout simplement monstrueux !

     

    Les mensonges des dirigeants et des médias atlantistes sont intolérables, comme l'inversion constante des rôles.

     

    J'ose le dire: La Russie, aujourd'hui, est le meilleur atout pour la paix. Et si comme le Général de Gaulle en avait eu la vision, l'UE et la Russie scellaient leur union, une union équilibrant la puissance des Anglo-Saxons, alors la paix aurait réellement avancé...

     

    Merci Jean-Pierre Chevènement d'avoir, aujourd'hui, rétabli l'honneur de la France. Et rappelé son devoir !

     

    Vive la paix ! Vive la Russie ! Honte à l'Occident menteur, prédateur, criminel !

     

    Chantal Dupille (eva R-sistons)

     

    TAGS : Russie, Poutine, guerre mondiale, Crimée, Ukraine, De Gaulle, Chevènement, UE, atlantiste, Etats-Unis, Israël, Kiev, Moscou..

     

     

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    Pourquoi la Russie de Poutine

    est détestée des occidentaux ?

     

    Beaucoup écoutent naïvement les mensonges colportés par l’Occident sur la Russie comme si nous n’en avions pas été les premières victimes.

    Si l’Occident attaque aujourd’hui la Russie c’est pour empêcher, comme pour les pays musulmans ou la Chine, la possibilité à une civilisation de s’affirmer contre l’hégémonie américaine.

    Le tout est qu’aujourd’hui les encerclés comprennent qu’il faut qu’ils se parlent. Se battre entre nous en Syrie, en Tchétchénie ou chez les Ouighours est le meilleur moyen de précipiter notre chute commune.

     

    http://www.islametinfo.fr/2014/03/18/pourquoi-la-russie-de-poutine-est-detestee-des-occidentaux/

     

     

     

     

     

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    Mes tweets :

     

    Poutine ne veut pas du NWO : Perte de la capacité à se reproduire, Monde unipolaire standardisé, "Etats" vassaux

    Poutine : "Les décisons clefs devraient être prises COLLECTIVEMENT plutôt que dans l'ombre pour servir des intérêts de certains pays ou groupes de pays."

     

     

     

    En 1812 la Russie compte 900 000 hommes dans son armée de terre, donc avait plus d’un million d’hommes mobilisés. (Wikipedia)

     

    Campagne de Russie 1812

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerres_napol%C3%A9oniennes#Campagne_de_Russie_1812

     

    L’empereur Napoléon Ier et ses maréchaux à la bataille de la Moskowa (ou bataille de Borodino) WIKIPEDIA
    Les Français à Moscou
    Articles détaillés : Campagne de Russie (1812) et Prise de Moscou.

    En 1812, Napoléon envahit la Russie pour obliger le tsar à maintenir le Blocus continental et éloigner la menace d’une invasion de la Pologne par la Russie. La Grande Armée (650 000 hommes dont 270 000 Français) franchit le Niémen le 23 juin 1812. La Russie proclame la Grande guerre patriotique alors que Napoléon avait proclamé la seconde guerre polonaise. Mais, contrairement aux attentes des Polonais, qui fournissent presque 100 000 hommes, Napoléon évite de faire des concessions à la Pologne, les repoussant aux négociations avec la Russie. Soit volontairement, soit par crainte d’affronter sur le champ de bataille Napoléon, les Russes reculent et pratiquent la politique de la terre brûlée, jusqu’à la bataille de la Moskowa, le 7 septembre. Cette bataille sanglante force les Russes à se retirer, et Moscou est prise et mise à sac le 14 septembre. Alexandre Ier refuse de négocier, et Napoléon, sans espoir de victoire décisive, est forcé de faire retraite et d’abandonner Moscou, lorsque son gouverneur, le prince Rostopchine, l’incendie. Avec la Retraite de Russie, la Grande Armée perd 370 000 hommes (en comptant les pertes lors des batailles) et 200 000 soldats sont faits prisonniers. En novembre, seuls 90 000 hommes franchissent la Bérézina. Napoléon doit de plus abandonner son armée pour retourner à Paris, où le général Malet a tenté un coup d'État, et pour préparer la défense de la Pologne. La situation de l’Empereur n’est alors pas si critique qu’il y paraît. Les Russes avaient perdu 400 000 hommes, et leur armée était aussi épuisée. Mais leurs lignes de ravitaillement étaient plus courtes, et ils pouvaient renouveler leurs effectifs plus rapidement que la France. (Wikipedia)

     

     

    ... // Vidéo Barbarossa : L'invasion de l'U.R.S.S

    apocalypse.france2.fr

     

    Russie-guerre-offensive-40.jpg

     

     

    À la fin de 1942, au moment où l'Allemagne, l'Italie et le Japon ont atteint le zénith de leur puissance expansive, leurs forces subissent en Russie, en Afrique et dans le Pacifique des coups d'arrêt que l'avenir révélera décisifs.

    4.1. Ultimes poussées de l'Axe en URSS et en Afrique

    La bataille de Stalingrad (novembre 1942-février 1943)

    La victoire de l'armée soviétique devant Moscou est suivie dans les deux camps par une période de relative accalmie, mise à profit par l'URSS pour réorganiser ses armées et transférer de nombreuses usines de guerre en direction de l'Oural, en Sibérie et au Turkestan.

     

    La guerre sur le front russe, 1943La guerre sur le front russe, 1943

     

    Le 5 avril 1942, Hitler fixe à la Wehrmacht les objectifs de sa prochaine offensive, qui visera la Volga, le Caucase et son pétrole. Retardée par une action de l'Armée rouge au sud de Kharkov (mai), elle débouche le 28 juin en direction de Voronej, pivot à la boucle du Donets, tandis que capitule Sébastopol après un siège de 250 jours.

     

    Le front russe est percé sur 500 km, et, après la chute de Rostov (23 juillet), les Allemands se lancent vers le Caucase, entrent à Maïkop, plantent le drapeau à croix gammée au sommet de l'Elbrous (21 août) ; ils sont bloqués dans la région du Terek à 120 km de la Caspienne, mais à 600 km de Bakou.

    Au même moment, la VIe armée (→ Paulus) franchit le Don à Kalatch, atteint la Volga (20 août) et conquiert du 1er au 15 septembre une grande partie de la ville de Stalingrad.

     

    Alors que Hitler croit tenir la victoire, débouche le 19 novembre la contre-offensive soviétique qui, encerclant l'armée de Paulus, la contraint à capituler le 2 février 1943.

     

    Cette première grande défaite allemande a un énorme retentissement : toute une armée a été détruite après avoir perdu 250 000 hommes à cause de l'entêtement du Führer, ce qui a pour effet de dresser contre lui nombre de chefs militaires. L'Armée rouge a pris l'initiative des opérations ; elle ne l'abandonnera plus jusqu'à Berlin.

     

    Pour en savoir plus, voir l'article bataille de Stalingrad.

     

     

    5.4. La Wehrmacht refoulée de la Volga au Dniestr (1943-1944)

    Si, en 1943, les alliés anglo-saxons ont obtenu des résultats décisifs en Afrique et en Italie, ils n'y ont immobilisé qu'une très faible partie de la Wehrmacht. Les trois quarts du potentiel militaire allemand s'appliquent encore au front soviétique, où, au cours de la même année, la victoire va aussi définitivement changer de camp.

     

    Au nord, la prise de Schlüsselburg par les Soviétiques (12 janvier) dégage Leningrad ; celles de Viazma et de Rjev (mars) refoulent la Wehrmacht à 250 km de Moscou, mais c'est au Sud qu'ont lieu les actions décisives.

     

    Au lendemain du désastre de Stalingrad (février 1943), les Allemands, chassés du Caucase comme de la boucle du Don, doivent abandonner Rostov, Koursk et Kharkov (qui est reconquis en mars par Manstein). Le 5 juillet 1943, l'échec de la double offensive blindée allemande (Manstein-Kluge) sur le saillant de Koursk signifie la perte désormais irréversible de l'initiative par la Wehrmacht sur le front de l'Est.

     

    Le 12, l'offensive soviétique de Rokossovski sur Orel est la première d'une série de coups de boutoir sur Kharkov, Briansk et Smolensk qui mènent à la fin de septembre l'Armée rouge sur le Dniepr : il sera largement franchi en novembre, malgré la réaction de Manstein à Jitomir.

    Refusant tout répit à Hitler, Staline déclenche dès le 18 décembre 1943 la campagne d'hiver : au Nord, la Wehrmacht est refoulée de 200 km sur Narva et Pskov (janvier 1944) ; au Sud, Vatoutine, Koniev, Malinovski et Tolboukhine portent leurs forces sur le Boug (février) et le Dniestr (mars), tandis que Joukov entre en Galicie polonaise, atteint Tchernovtsy et Kovel et menace Lvov.

     

    Le 15 avril, après la prise d'Odessa et de Ternopol, le front se stabilise : l'Ukraine est totalement libérée, les Soviétiques sont à la porte des Balkans ; Sébastopol tombe le 9 mai ; seuls les pays Baltes et la Russie blanche (actuelle Biélorussie) sont encore aux mains de la Wehrmacht.

     

    Pour en savoir plus, voir l'article guerre germano-soviétique.

     

    http://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/Seconde_Guerre_mondiale/122570

     

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    Famille regardant sa maison détruite, 1er septembre 1943.

    Wikipedia

     

    WIKIPEDIA - Pertes militaires alliées sur le front de l'Est122
    Forces soviétiques
     Total mortsTués/disparusFaits prisonniersPrisonniers morts en captivité
    URSS 10 600 000 6 829 437123 5 200 000 3 300 000
    Pologne 24 000 24 000 Inconnu Inconnu
    Roumanie 17 000 17 000 80 000 Inconnu
    Bulgarie 10 000 10 000 Inconnu Inconnu
    Total 10 651 000 6 927 204 + partisans morts 5 280 000 3 300 000

     

     

     

    Soldats soviétiques tués dans la poche de Kholm, janvier 1942.

     

     

     

     

    WIKIPEDIA Pertes militaires de l'Axe sur le front de l'Est121

    Forces de l'Axe
     Total mortsTués/disparusFaits prisonniersPrisonniers morts en captivité
    Allemagne 4 300 000 4 000 000 3 300 000 374 000
    Citoyens soviétiques ayant rejoint l'Allemagne 215 000+ 215 000 1 000 000 Inconnu
    Roumanie 281 000 81 000 500 000 200 000
    Hongrie 300 000 100 000 500 000 200 000
    Italie 82 000 32 000 70 000 50 000
    Total 5 178 000+ 4 428 000 5 450 000 824 00

     

     

     

    Fosse commune de prisonniers de guerre soviétiques massacrés par les Allemands, camp de concentration de Dęblin, Pologne, date inconnue. Wikipedia
    Image.

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    La bataille de Stalingrad désigne les combats du 17 juillet 1942 au 2 février 1943, pour le contrôle de la ville éponyme, aujourd'hui Volgograd, entre les forces de l'Union des républiques socialistes soviétiques et celles du Troisième Reich et de ses alliés. Ils incluent l'approche de la ville par les armées de l’Axe, les combats urbains pour sa conquête à partir de septembre, puis la contre-offensive soviétique, jusqu'à l'encerclement et la reddition des troupes allemandes. L'ensemble de ces combats, dans et hors de la ville, se sont étendus sur un peu plus de six mois et ont coûté la vie à environ 750 000 combattants1 et à 250 000 civils parmi six nations, ce qui en fait une des batailles les plus meurtrières de l'histoire.

    Avec la bataille de Moscou, en décembre 1941, et la bataille de Koursk, en juillet 1943, elle constitue l'une des grandes défaites de l'armée allemande et est considérée comme un tournant stratégique majeur de la Seconde Guerre mondiale. Elle reste dans les mémoires pour l'âpreté des combats urbains, n'épargnant ni civils ni militaires, ainsi que pour son impact psychologique et symbolique.


    La capitulation de l’armée de von Paulus à Stalingrad, le 2 février 1943, marqua, pour l’opinion publique mondiale, un tournant militaire décisif,mais qui ne fut pas le premier.

    Cette victoire trouve son origine dans les préparatifs de l’URSS à la guerre allemande jugée inévitable : le dernier attaché militaire français en URSS, Palasse les estima à leur juste valeur.
    Contre son ministère (de la Guerre), acharné à faire barrage aux alliances franco-soviétique et tripartite (Moscou, Paris, Londres) qui eussent contraint le Reich à une guerre sur deux fronts, cet observateur de l’économie de guerre soviétique, de l’armée rouge et de l’état d’esprit de la population affirma dès 1938 que l’URSS, dotée d’« une confiance inébranlable dans sa force défensive », infligerait une sévère défaite à tout agresseur. Les revers japonais dans les affrontements à la frontière URSS-Chine-Corée en 1938-1939 (où Joukov se fit déjà remarquer) confirmèrent Palasse dans son avis : ils expliquent que Tokyo ait prudemment signé à Moscou le 13 avril 1941 le « pacte de neutralité » qui épargna à l’URSS la guerre sur deux fronts.


    Après l’attaque allemande du 22 juin 1941, le premier tournant militaire de la guerre fut la mort immédiate du Blitzkrieg.
    Le général Paul Doyen, délégué de Vichy à la commission d’armistice, l’annonça ainsi à Pétain le 16 juillet 1941 : « Si le IIIème Reich remporte en Russie des succès stratégiques certains, le tour pris par les opérations ne répond pas néanmoins à l’idée que s’étaient faite ses dirigeants.

    Ceux-ci n’avaient pas prévu une résistance aussi farouche du soldat russe, un fanatisme aussi passionné de la population, une guérilla aussi épuisante sur les arrières, des pertes aussi sérieuses, un vide aussi complet devant l’envahisseur, des difficultés aussi considérables de ravitaillement et de communications.

    Sans souci de sa nourriture de demain, le Russe incendie au lance-flamme ses récoltes, fait sauter ses villages, détruit son matériel roulant, sabote ses exploitations ».

    Ce général vichyste jugea la guerre allemande si gravement compromise qu’il prôna ce jour-là transition de la France du tuteur allemand (jugé encore nécessaire) au tuteur américain, puisque, écrivit-il, « quoi qu’il arrive, le monde devra, dans les prochaines décades, se soumettre à la volonté des États-Unis.

    » Le Vatican, meilleure agence de renseignement du monde, s’alarma début septembre 1941 des difficultés « des Allemands » et d’une issue « telle que Staline serait appelé à organiser la paix de concert avec Churchill et Roosevelt ».


    Le second tournant militaire de la guerre fut l’arrêt de la Wehrmacht devant Moscou, en novembre-décembre 1941, qui consacra la capacité politique et militaire de l’URSS, symbolisée par Staline et Joukov.

    Le Reich mena contre l’URSS une guerre d’extermination inexpiable jusqu’à sa retraite générale à l’Est, mais l’armée rouge se montra capable de faire échouer les offensives de la Wehrmacht,
    en particulier celle de l’été 1942 qui prétendait gagner le pétrole (caucasien).
    Les historiens militaires sérieux, anglo-américains notamment, jamais traduits et donc ignorés en France, travaillent plus que jamais aujourd’hui sur ce qui a conduit à la victoire soviétique, au terme de l’affrontement commencé en juillet 1942, entre « deux armées de plus d’un million d’hommes ». Contre la Wehrmacht, l’Armée rouge gagna cette « bataille acharnée », suivie au jour le jour par les peuples de l’Europe occupée et du monde, qui « dépassa en violence toutes celles de la Première Guerre mondiale, pour chaque maison, chaque château d’eau, chaque cave, chaque morceau de ruine ».

    Cette victoire qui, a écrit l’historien britannique John Erickson

    « mit l’URSS sur la voie de la puissance mondiale »,
    comme celle « de Poltava en 1709 [contre la Suède] avait transformé la Russie en puissance européenne ».


    La statistique générale des morts de la Deuxième Guerre mondiale donne de 26 à 28 millions de morts soviétiques (les chiffres ne cessent d’être réévalués) sur environ 50, dont plus de la moitié de civils

    Les plus vieux d’entre nous savent, même quand ils ne sont pas historiens, que Stalingrad a donné aux peuples l’espoir de sortir de la barbarie hitlérienne.

    À compter de cette victoire,

    « L’espoir changea de camp, le combat changea d’âme. »





    A voir absolument

    Réalisateur:
    Costelle, Daniel
    Producteur:
    Guillaud, Jean Louis ; Turenne, Henri de
    Participant:
    Simonov, Constantin Mikhailovitch ; Kielmansegg, Johan Adolf von ; Joukov, Gueorgui Konstantinovitch ; Ludnikov, Ivan ; Choumilov, Mikhaïl


    Le meilleur documentaire sur Stalingrad (et j’en ai lu et vu beaucoup)
    Avec les témoignages des russes et soldats allemands qui ont survécu a l’apocalypse

    1 million de mort 750 000 combattants1 et à 250 000 civils

    1 ….. https://www.youtube.com/watch?v=DSJWTvA7sxc
    2 ..…https://www.youtube.com/watch?v=DO7cx50fIng
    3….....https://www.youtube.com/watch?v=22dz8odZh5Y 9mm 45 la haine
    4…… https://www.youtube.com/watch?v=KFJgCz4W84c 8mm 10 ,(16 mm 50 )
    5….…https://www.youtube.com/watch?v=lQ9Mb6rL2Xs




    EXTRAORDINAIRE…..POIGNANT… TERRIBLE

    STALINGRAD MASSENGRAD, C’EST A DIRE FOSSE COMMUNE (16 mm 50)

    1 million de mort


    Image
    http://forum.spirit-modelcar.com/viewtopic.php?f=121&t=2737.

     

     


    TCHERNOBYL - Le rapport secret de l’AIEA

    Relations internationales : Poutine impose de nouvelles règles du jeu

    Sergueï Lavrov : « Toutes ces années, nos partenaires occidentaux nous ont menti »


    Echos de Russie pour compenser la désinfo - 7 mythes sur la Russie de Poutine

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    L’Ukraine est un « pion dans le jeu géopolitique » - Vers la WW3 ?

     

    L'Occident est fasciste, c'est la réalité. Voici pourquoi (Chantal Dupille)

     

    Les photos de propagande du New York Times sur l’Ukraine sont démasquées


    Ukraine : des avions de chasse français engagés dès dimanche dans le ciel balte


    Que reste-t-il des Droits de l’homme en Ukraine ?

    Israël derrière les événements en Ukraine

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    Déclaration du Comité Valmy

    De qui la Crimée est-elle le pays ?

    Ukraine - Russie - 25 avril 2014 - Kiev force l’armée à participer aux opérations punitives contre les séparatistes

    Le plan américain pour l’Ukraine – une hypothèse

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    La Chine et la Russie préviennent les Etats-Unis qu’une attaque israélienne sur l’Iran déclencherait une “Guerre Mondiale”

     

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