• L'"épine" iranienne. Fabius Ministre d'Israël. Dangereuses luttes d'influence

     
     
    Jeudi 14 novembre 2013

     

     

     

     

     

     

     

     

    L'actualité m'a fait passer cet article

     

    avant celui promis sur la France en voie de destruction (c.d.)

     

     

     

     

     

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    http://senor-information.over-blog.com/article-jamais-l-iran-n-a-appele-a-rayer-israel-de-la-carte-mensonge-israelien-121042411.html

     

     

     

     

     

     

     

    Dangereuses luttes d'influence

     

    par Chantal Dupille

     

     

     

     

     

    Le monde est un théâtre d'ombres. Nous ne savons que ce que l'on veut bien nous dire, ou plus exactement, tout ce qu'on nous dit est plus ou moins déformé (L'essentiel est d'ailleurs masqué). Ce n'est pas pour rien que la France est, en Europe, Lanterne Rouge en matière d'information - si vous préférez, championne de la désinformation. Tout est lié, d'ailleurs. Comme intuitivement je l'ai expliqué dans ma vidéo (http://www.dailymotion.com/video/xyt8pb_le-drame-francais-c-est-aujourd-hui-un-pays-colonise-par-les-sionistes-r-sistons-video-16_news), la France frondeuse, imprévisible, rebelle, qui a enfanté un de Gaulle indépendant ou un Chirac disant NON à la guerre contre l'Irak, devait être matée, domptée, pour ne plus jamais être un grain de sable dans la mise en place de l'Empire USraélien (Anglo-Saxons et Israéliens). Elle a donc été colonisée, à son insu, discrètement, depuis l'arrivée au pouvoir de Sarkozy l'apatride (comme l'argent) au service des Américains et des Israéliens. Bref, elle est aujourd'hui défigurée, et par exemple, son Ministre des Affaires Etrangères, L.Fabius (M. sang contaminé), défend les intérêts d'Israël, pas ceux de la France. Ou encore, le N°2 du CRIF, le fanatique conseiller de Netanyahu, Meyer Habib, s'est fait élire au Parlement à l'UDI qui se dit centriste - en laissant ce Franco-Israélien parler en son nom au Parlement le 13.11.13.

     

     

     

    M. Meyer Habib ose se prétendre au service de la Nation en citant Jaurès et Clémenceau, tout en reprenant les arguments de l'extrémiste Netanyahu: L'Iran (voir ici la vérité http://senor-information.over-blog.com/article-jamais-l-iran-n-a-appele-a-rayer-israel-de-la-carte-mensonge-israelien-121042411.html) "ne songe qu'à rayer Israël de la carte" (alors que c'est l'inverse), " l'Iran massacre, tue" (il n'a jamais attaqué 1 pays!), "il veut l'arme nucléaire", "il menace la région et le monde"... Suit un aveu : " Grâce à vous, M. Fabius, Genève s'est transformé en MUNICH " ! Même le Foreign Policy le dit : "La France est le meilleur allié d'Israël en Europe et le deuxième dans le monde après les Etats-Unis" (Le point). Quel chemin parcouru depuis un De Gaulle ami des Arabes, ou un Chirac disant non à la guerre contre l'Irak, éloignant les Services de Sécurité israéliens pour parler aux Palestiniens, ou accueillant Arafat malade ! A peine élu, Sarkozy a verrrouillé les médias (désormais orchestrés par des sayanim), puis le Quai d'Orsay, débarrassé de ses éléments gaulliens indépendants.. pour l'offrir à USraël. C'est une haute trahison !

     

     

     

    Lors du débat de France24 du 12 novembre 2013, il y avait 4 personnes, la journaliste Vanessa Burggraf, spécialisée comme son compère sur la V, Yves Calvi-Krettly, dans l'organisation de faux débats, la chroniqueuse de France24, l'Américain Nicholas Dungan, un avocat iranien (vivant en France?), et le conseiller de Netanyahu, Meyer Habib, franco-israélien, extrémiste élu UDI (centriste, sic), parlant d'Israël le seul pays qui compte pour lui, et pour lequel il fait du lobbying au Parlement, tout en étant son porte-parole dans les médias. Il est à lui seul le symbole de cette France colonisée, dénaturée, et désormais non seulement ridiculisée dans le monde, mais haïe dans presque tous les pays.  

     

     

     

    Dans ce débat, Meyer Habib ment en permanence, présentant l'Iran comme un pays de dangereux islamistes, spécialiste des massacres et des attentats, allié aux terroristes du Hezbollah, hypocrite, et préoccupé seulement par l'idée d'avoir la bombe nucléaire pour rayer Israël de la carte !! Et il compare l'Iran nucléaire à la Syrie dotée d'armes chimiques, mais raté ! Car ce n'est pas l'armée d'Assad qui a utilisé ces armes, sinon les fanatiques qui l'attaquent. Cet émotif va si loin dans la caricature, qu'il est obligé de se reprendre en évoquant les Egyptiens comme un "régime de Mollahs"... Bref, cet individu tente seulement d'insuffler la peur, en dénaturant les intentions, les faits, l'Histoire, en abusant des pires clichés mensongers. Triste de voir des pseudo Centristes de l'UDI laisser le porte-parole du messianique va-t-en guerres Netanyahu, s'exprimer au Parlement en leur nom.

     

     

     

    Meyer Habib dans ce débat, comme au Parlement, dit que l'accord avec l'Iran est "mauvais" et qu'Israël, mû par le désir de préserver la paix (ce serait bien la 1e fois!), n'en veut pas. Comprenons que si l'entité ultra sioniste (d'ailleurs pour des raisons religieuses) est face à un "mauvais accord" selon elle, elle attaquera l'Iran - même seule et contre l'avis de tous, en espérant que les Etats-Unis, mis en présence du fait accompli, suivront, et en sachant que le toutou français la soutiendra au risque d'une apocalypse nucléaire mondiale. Bref, la vraie menace vient d'Israël, qui ne supporte pas d'avoir dans la région un Etat fort, souverain, autonome, anti-sioniste, et armé. Il doit dominer seul le Moyen Orient après avoir balkanisé, affaibli, asservi ou détruit tous les pays environnants - et du monde, d'ailleurs, puisque ses dirigeants actuels sont des adeptes du Talmud le plus arrogant, raciste et haineux (non reconnu par les Juifs laïcs ou fidèles à la Torah, à la vraie Parole de Yahvé): "1 peuple Elu,1 race supérieure, dominer le monde, exterminer les goys ou les réduire en esclavage".

     

     

     

    Je reviens à ce débat de France24 qui pour une fois, est très significatif, et lourd d'enseignements. L'invité américain dit : "La France joue un peu le rôle de policier dur, le plus dur. C'est une position absolutiste, intransigeante, contre tous". Pour l'avocat iranien, "A cause de la France, on n'a pas signé l'accord, or c'était un accord INTERMEDIAIRE pour créer la confiance. Et ce premier pas permettait à l'Iran d'accéder partiellement à ses avoirs gelés à l'étranger. Dans l'immédiat, tout cela est anéanti. Le 20 novembre, il s'agira d'une simple rencontre TECHNIQUE et pour lever les sanctions, il faudra un vote au Congrès. La rencontre de Genève était une opportunité historique car l'Iran est plus ouvert, et le Président Obama est plus modéré, plus pragmatique". Ce qui est sûr, c'est que le camp de la guerre se renforce avec le retour au gouvernement de Lieberman comme Ministre... des Affaires Etrangères ! Là, le PIRE est à craindre pour le monde !

     

     

     

    Le retard pris dans les négociations donnera du temps aux lobbyings. D'un côté, la France fera tout "pour affaiblir le pouvoir de négociation", et l'Aipac, avec les Républicains, tenteront de convaincre les Elus US de ne pas signer de "mauvais accord" avec l'Iran (comme Meyer Habib, qui est aussi ancien du Mossad); certains envisagent même, d'ailleurs, d'accroître les sanctions contre l'Iran ! D'un autre côté, Obama tentera de rallier à son choix les Congressistes. Mais pourquoi maintenant Kerry ferait-il courir le bruit que les accords ont échoué à cause de l'Iran ? S'agit-il de bruits juste médiatiques ? D'une tactique momentanée ? De simples propos - sans fondement ? Ou d'atténuer l'isolement de la France ? A suivre attentivement...

     

     

     

    Pour revenir au débat, et sur les considérations sur le degré d'enrichissement, ce que demande Meyer Habib comme le pays qu'il représente, en l'occurrence Israël (tout en prétendant défendre les intérêts français !!), c'est que seul soit toléré le nucléaire civil enrichi à 3%, or il en faut 20 pour les utilisations médicales comme les scanners. C'est un seuil d'autant plus abusif, intolérable, qu'Israël n'a jamais signé le moindre Traité nucléaire, et qu'il attend des autres qu'ils fassent ce qu'il ne fait pas lui-même. Bref, il n'a pas d'exigences à avoir, pas de leçons à donner ! Mais son arrogance ne connaît pas de limites (je rappelle que le nucléaire civil est un droit absolu).

     

     

     

    Personnellement, ce que je crains, c'est que si l'Iran cède à toutes les exigences, il sera de toutes façons sanctionné puis attaqué, sans pouvoir se défendre, comme Assad avec les armes chimiques. Israël demande, exige, mais ne donne rien. Et son plan, avec les fanatiques qui sont au gouvernement (au service des colons messianiques), est de soumettre toute la région - et le reste de la planète, d'ailleurs. En tous cas, en refusant d'atténuer les sanctions contre l'Iran, l'entité ultra sioniste cherche manifestement à affaiblir ce pays millénaire avant de l'attaquer, comme l'Irak. Et qui sait, peut-être aussi provoquer machiavéliquement le mécontentement des Iraniens, afin qu'ils se retournent contre leur gouvernement (chaos intérieur facilitant ensuite l'achèvement du pays par les bombes, alors qu'il est divisé).

     

     

     

    Donc, Meyer Habib laisse clairement entendre qu'Israël ne veut pas d'un "mauvais accord", c'est-à-dire permettant un degré d'enrichissement ne lui convenant pas. En d'autres termes, si ce "mauvais accord" est signé, il entrera en guerre contre l'Iran - avec la France et ensuite, les USA, nécessairement. Car il m'est aussi clairement apparu, dans ce débat, que la France (des néocons Fabius-Hollande) entrerait en guerre avec Israël contre l'Iran, au péril d'un conflit nucléaire mondial (que ses sayanim souhaitent) dans notre pays truffé de centrales nucléaires. Quelle responsabilité ! Non contente de jouer sans cesse un rôle négatif et dangereux, de travailler contre son industrie (ainsi Peugeot remplacé par General Motors) et de perdre la confiance des investisseurs, non contente de fourvoyer notre diplomatie au sein de la stratégie de tension d'Israël, la France risque d'allumer, par son intransigeance malsaine, la mèche qui embrasera toute l'humanité.

     

     

     

     

    source: http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/11/12/97001-20131112FILWWW00268-geneve-l-iran-impute-l-echec-a-l-occident.ph

     

     

     

     

     

     

     

    Luttes d'influences

     

     

     

     

     

    Alors, comment comprendre que la France certes outrageusement communautariste, ait été si isolée à Genève II ? Il y a manifestement un désir de trouver un accord chez les autres participants, même anglo-saxons. Je crois que le démocrate Obama veut la fin des confrontations, et que l'Iran (pays très jeune, moderne) réintègre le système international (politique, économique et même militaire !). Pour moi, non seulement l'Amérique n'a pas les moyens de mener maintenant une nouvelle guerre, mais elle souhaite peut-être soustraire l'Iran à l'influence russe, afin d'attaquer plus tard le pays de Poutine (encerclé) plus aisément. Et si l'Iran rentrait dans le giron occidental (comme la Turquie), il pourrait être utilisé contre la Russie, comme la Libye privée de Kadhafi a servi à attaquer la Syrie au lieu d'être unie à elle. Sans aller jusque là, un Iran qui ne serait plus lié à la Russie mais à l'Occident, priverait cet Etat d'un allié essentiel.

     

     

     

    Ceci dit, dans l'ombre se joue un combat titanesque entre deux alliés. On en a eu un aperçu lors de l'affaire DSK (soutien d'Israël) : Il a été remplacé par Christine Lagarde au FMI que les Américains voulaient récupérer. Or, sans doute sous l'influence de Brzezinsky, Obama a évolué. Il croit plus à la négociation, à la diplomatie, qu'au colt cher aux Texans. Bref, il est plus modéré, plus réfléchi. Le but est sans doute le même (hégémonique), mais d'abord le business. A l'inverse, Israël se radicalise de plus en plus, au point d'être gouverné par les plus fondamentalistes, les plus fanatiques, les plus extrémistes, sous l'influence des colons religieux, messianiques. Donc, surtout depuis l'échec de Genève II à cause de l'intransigeance française CALQUANT celle des sionistes de Tel-Aviv, les USA d'Obama et l'Israël de Netanyahu seraient à couteaux tirés. J'ai écrit dans un tweet, qui l'emportera ? Guerre Iran imposée, assassinat d'Obama, Israël-France priés de se rallier à la position commune ? On a vu que Netanyahu a annulé les projets de construction de 20.000 logements dans des colonies en Cisjordanie, ce qui laisse penser qu'au moins pour l'instant, la ligne modérée d'Obama l'emporte sur la radicale de Tel-Aviv. Nous le saurons bientôt : Le torchon brûlerait entre les USA et Hollande (via Fabius) qui ne ferait plus que de la figuration. Sera-t-il déposé bientôt (notamment à la faveur de la grogne populaire certainement favorisée et entretenue de l'Extérieur), et remplacé par Ayrault plus proche des USA (comme Lagarde pour le FMI) ? Et le FN lui-même serait au bord de la scission, le père Le Pen étant plus proche des Américains et la fille sous contrôle direct d'Aliot-CRIF-Netanyahu (source http://islamic-intelligence.blogspot.com). De la même façon, Valls, "éternellement lié à Israël" selon ses dires, n'aurait pas la faveur de Washington, pas plus qu'un Copé. Le CRIF, lui, souhaiterait voir Valls accéder au pouvoir, pour mener toutes les guerres intérieures et extérieures en son nom. Sale jeu de l'ombre ! 

     

     

     

    Nous saurons bientôt quelle influence l'emportera. Personnellement, je crains une réaction disons épidermique d'Israël, poussé par les colons à attaquer l'Iran malgré tout, en comptant sur le caniche français et en mettant les USA en présence du fait accompli. Ce qui est sûr, c'est que le théâtre d'ombres risque de dériver un jour vers une tragédie planétaire. Tous les ingrédients d'une catastrophe sont réunis. Obama pourra-t-il, aidé des Russes, contenir les fous furieux à l'oeuvre ? Vers la paix - ou la guerre à cause de ces derniers ? 

     

     

     

    L'avenir nous le dira !

     

     

     

    Chantal Dupille

     

    http//chantaldupille.over-blog.com

     

     

     

    TAGS: Iran, Israël, Etats-Unis, Fabius, Hollande, France, Diplomatie, GenèveII, guerre, Netanyahu, Brzezinsky, Russie, Cisjordanie...

     

     

     

       

     

        Les services de sécurité américains le disent eux-mêmes, il n’y a pas de menace nucléaire iranienne= http://www.info-palestine.eu

     

     

     

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    Les 3 conseillers des Sarkozy-Hollande, pour le malheur

     

    de la France et du monde (note d'eva)

     

     

     

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    Article à lire absolument :

     

    Alliance infernale Tel-Aviv-Ryad-Paris mettant en péril la paix du monde

     

     

     

     

     

    Les fondations du sionisme se lézardent, un article décisif

     

    http://www.oulala.info/2013/11/les-fondations-du-sionisme-se-lezardent/

     

     

     

     

     

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    De  quel pays Fabius est-il

     

    le ministre des Affaires étrangères ?

     

    lundi 11 novembre 2013 - 12h:55

    D’après Russia Today

     

    Non content d’avoir joué le roquet d’Obama dans la crise syrienne, Fabius excelle aussi dans le rôle de roquet de Netanyahou (à g.)

     

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    Amérique et la France se partagent les rôles du « bon flic - mauvais flic » dans les pourparlers P5 + 1 avec l’Iran sur son programme nucléaire, de sorte que la position de Washington paraîtrait plus raisonnable, explique Robert Harneis, journaliste et analyste politique a RT.

    Six grandes puissances et l’Iran se tiennent réunies pour des négociations à Genève sur le programme nucléaire très controversé de Téhéran.

     

    RT : La France semble être le plus sceptique des pays qui sont représentés dans les négociations, quant à l’issue des pourparlers. Qu’est-ce qui se cache en réalité derrière ce scepticisme ?

    Robert Harneis : Il est toujours un peu difficile de comprendre la position du française ici. Ils semblent prendre une position extrême tout le temps. Il y a un certain nombre de raisons à cela. La première est qu’ils jouent au « bon flic - mauvais flic » avec les Américains. Obama est soudainement beaucoup plus raisonnable dans son attitude envers les Iraniens, et les Français sont là à donner des coups de coude en disant : « Oh, vous ne devez pas accepter trop facilement, Israël doit être protégé », et ainsi de suite. Dans un sens, si vous voulez, ils jouent le jeu des Américains afin que ceux-ci puissent sembler plus raisonnables, les Français paraissant alors plus déraisonnables.

    Il y a un autre facteur, qui est que tout le monde connaît l’énorme pression du lobby israélien en Amérique. Il n’est pas tout à fait aussi bien connu que ce poids est assez considérable aussi en France .

    RT : Le ministre français des Affaires étrangères a déclaré que la position d’Israël devait être prise en considération. Pourquoi une telle préoccupation pour Israël, alors même Washington a qualifié de « prématurée » la condamnation d’un accord par Netanyahou ?

    RH : Oui, c’est intéressant, n’est-ce pas, que M. Netanyahu ait déclaré que l’accord avait été conclu. Tout le monde dit que ce n’est pas le cas. En tout cas, la position des Français, je pense, c’est de dire des choses que les Américains ne veulent pas dire pour le moment. Je pense que c’est cela le fond des choses, parce que franchement... cette posture par le président français et son ministre des Affaires étrangères, donne à la France l’air assez ridicule sur le front intérieur. Il y a beaucoup de moquerie en France à l’égard de Laurent Fabius et de ses déclarations hyper-agressives.

    RT : Nous sommes habitués à voir que les États-Unis soient l’un des plus rudes adversaires de Téhéran. Pensez-vous que la position de Washington est véritablement en train de changer ?

    RH : Eh bien, on voudrait espérer - si je peux m’exprimer ainsi - qu’il s’agisse d’une véritable révolution diplomatique. Les Américains depuis 1979, quand le drame de l’ambassade a eu lieu en Iran, ont une manière un peu ridicule, qui tient un peu de l’obsession vengeresse, de traiter avec la prétendue menace nucléaire iranienne.

    Pour autant que quiconque peut le dire et tel que les services de sécurité américains le disent eux-mêmes, il n’y a pas de menace nucléaire iranienne. Les Israéliens, d’autre part, possèdent 300 bombes nucléaires. Donc, la situation est un peu absurde, comme c’est souvent le cas avec les politiques étrangères occidentales.

    Il y a des signes qu’Obama tente de mettre la politique étrangère américaine sur une piste plus appréciable. Pourquoi ne pas avoir de meilleures relations avec l’Iran ? C’est ce qui est demandé aux États-Unis, après tout. Pendant des années, avec la menace de l’Union soviétique, ils n’avaient aucune difficulté à négocier avec [Mikhail] Gorbatchev et des dirigeants beaucoup plus difficiles que lui. Alors, pourquoi ne pouvons-nous pas négocier avec les Iraniens ? Pourquoi sommes-nous tenus de prendre cette attitude ridicule en soutenant que les iraniens ne peuvent pas avoir ce dont la France, la Grande-Bretagne, les États-Unis disposent, à savoir une protection nucléaire ? Et les Iraniens disent qu’ils n’en veulent pas, de toute façon.

    Donc, c’est une question difficile de tout vouloir régler. Mais il se peut qu’il y ait une véritable révolution en cours et que les Américains vont changer leur position parce qu’ils ont réellement besoin de faire des affaires avec l’Iran.

    RT : Enfin, quels sont vos prédictions personnelles ? Est-ce que les parties concernées parviendront à surmonter leurs désaccords et à trouver un accord dans un avenir proche ?

    RH : Eh bien, si je devais mettre ma réputation en jeu, je dirais qu’il y aura un accord. Parce qu’il n’est question, après tout, que d’un contrat d’une portée de six mois, pour autant que nous pouvons le comprendre. Une condamnation avec sursis, pour ainsi dire. Avec les problèmes de gazoduc en provenance d’Iran vers l’Europe, dont l’Europe a tant besoin pour son gazoduc Nabucco - qui n’a pas de gaz sans les Iraniens - je pense qu’il y a une très forte probabilité. Et ils souhaitent tous se positionner pour tous les contrats à venir pour la reconstruction de l’Iran. Donc, j’espère qu’il y a en gestation une vraie révolution.

     

    9 novembre 2013 - Russia Today - Vous pouvez consulter cet article à :
    http://rt.com/op-edge/iran-geneva-t...
    Traduction : Info-palestine.eu

     

    http://www.info-palestine.eu/spip.php?article14169#.UoDQQs9ooJ8.twitter

     

     

     

     

     

     

     

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    Jusqu’au-boutisme de la diplomatie française

     

    sur le dossier iranien

     


    Laurent Fabius et Tel Aviv sabotent toute chance de paix au Moyen Orient

     

    Un observateur américain analyse ici le rôle de Laurent Fabius et de l’Etat juif d’Israël, dans l’échec des négociations de Genève avec l’Iran les 7, 8 et 9 novembre. Les manœuvres de Fabius sont à situer dans le contexte d’une diplomatie française guerrière initiée en 2007 par le couple Sarkozy/Kouchner. Il s’agit d’une diplomatie néfaste, sur fond d’affinités tribales - calquée sur la propagande et la logique de guerre de Tel Aviv - qui vise à maintenir une situation de confrontation permanente avec l’Iran et ses alliés. [SC]

     


     

    11 novembre 2013

     

    La France a été un important agent de la prolifération nucléaire au Moyen Orient. Alors qu’elle a travaillé et continue à le faire pour permettre à certains pays de produire des armes atomiques, elle prétend s’opposer à toute capacité nucléaire civile à d’autres.

    FAS
    Nuclear Weapons – Israel

    « Le 3 octobre 1957, la France et Israël ont signé un accord appelant la France à construire un réacteur de 24 MW (quoique les dispositifs de refroidissement et de traitement des déchets aient été conçus pour trois fois cette puissance) et, dans des protocoles non rendus publics, une installation de retraitement chimique. Ce complexe a été construit en secret, hors du régime d’inspection de l’AIEA, par des techniciens français et israéliens à Dimona dans le désert du Néguev, sous la supervision du colonel de l’armement israélien Manes Pratt ».

    Saudi Gazette, 3 octobre 2013
    La France prête à être le partenaire stratégique du royaume d’Arabie Saoudite dans les domaines du nucléaire et des énergies renouvelables

    « S’exprimant devant la Saoudi Gazette, l’ambassadeur de France auprès du royaume a déclaré « l’objectif de cette rencontre est très clair. La France a été le premier pays a signer un accord d’Etat à Etat sur le nucléaire et l’énergie parce que nous pensons qu’il faut prendre en compte le vaste programme que le gouvernement saoudien veut lancer dans le domaine nucléaire et que la France a beaucoup à apporter en terme d’excellence dans la technologie nucléaire au niveau mondial. »

    France 24
    Hollande soutient Israël sur la menace nucléaire iranienne

    « Benjamin Netanyahou a exhorté la France a adopter une position de fermeté sur l’Iran ; le président François Hollande a parlé au téléphone avec le premier ministre Israélien et a promis le soutien de la France. »

    The Guardian, 10 novembre 2013
    Les discussions de Genève se terminent sans accord sur le programme nucléaire iranien

    « Trois jours éprouvants de diplomatie au plus haut niveau à Genève se sont achevés sans accord sur le programme nucléaire iranien, suite au blocage par la France sur un accord intérimaire visant à réduire les tensions et à donner plus de temps aux négociations.

    Les diplomates participant aux discussions étaient furieux du rôle joué par le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius qu’ils ont accusé de briser l’unité des rangs en révélant des détails sur les négociations dès son arrivée à Genève samedi matin, puis d’avoir enfreint le protocole en présentant les résultats à la presse avant l’arrivée d’Ashton et de Zarif à la conférence de presse de clôture. »

    Un accord provisoire à Genève aurait été la première étape pour un accord plus global sur le nucléaire permettant à l’Iran de revenir dans le concert des nations. Cet accord aurait été le point de départ de la « bascule vers la Perse » par laquelle les Etats Unis auraient compensé leurs relations difficiles avec Israël et l’Arabie saoudite grâce à des relations amicales avec l’Iran. Sans un tel rééquilibrage au Moyen Orient, les Etats Unis seront financièrement et militairement incapables d’exécuter leur plan de recentrage vers l’Asie.

    La France a fait capoter un accord historique et, malgré les signaux précédemment envoyés par la France, les autres pays « occidentaux » engagés dans les négociations n’étaient pas préparés et leurs ministres des affaires étrangères ont été incapables de gérer l’intransigeance française. Cette désunion à l’intérieur du groupe des P5+1 qui négocie avec l’Iran va entraver toute négociation ultérieure. Avec qui l’Iran peut-il négocier s’il n’y a pas d’opposition unie ?

    L’impasse actuelle donne au Congrès des Etats Unis, et aux laquais de Netanyahou en son sein, une occasion d’infliger de nouvelles sanctions à l’Iran en les adjoignant au National Defense Authorization Act qui doit être voté d’ici quelques semaines.

    Mais la désunion des P5+1 est, au moins à court terme, positive pour l’Iran. Personne ne peut l’accuser de ne pas vouloir négocier et de ne pas chercher activement un compromis. Les sanctions que le Congrès va adopter seront des sanctions sur les parties tierces qui « puniront » les pays pour leur commerce avec l’Iran. Comme il est évident que ce n’est pas l’Iran qui fait obstacle à un accord, ces pays tiers seront peu disposés à se conformer à un tel diktat du Congrès US. Le régime des sanctions va donc se déliter. Lentement d’abord, puis de plus en plus vite.

    Il est douteux que la France, l’Arabie Saoudite et Israël seront capables de bloquer un accord avec l’Iran pendant plus d’un an. Il y a une logique historique dans un basculement des Etats Unis et de « l’Occident » en général vers la Perse ; car un tel repositionnement leur permettrait de se détacher de leur « alliés » capricieux actuels au Moyen Orient. La réaction hostile de l’opinion américaine à la tentative de lancer une guerre contre la Syrie a signifié que des changements historiques dans les alliances actuelles sont inévitables.

    Moon of Alabama (USA)
    10 novembre 2013.

     

    http://www.silviacattori.net/article5046.html


     

    Par Le Colonel Régis Ollivier le 10 novembre 2013

    Nucléaire iranien : la France est-elle aux ordres d’Israël?

    Crédits photo : francetvinfo

    Crédits photo : francetvinfo

      

    Trois jours d’intenses négociations entre l’Iran et six puissances mondiales (Etats Unis, Russie, Chine, France, Grande Bretagne, Allemagne) se sont achevées dans la nuit de samedi à dimanche à Genève sans déboucher sur un accord sur le programme nucléaire de Téhéran. Les réunions ont  «permis d’avancer mais nous n’avons pas pu conclure parce qu’il y a encore quelques questions qui restent à traiter», a déclaré le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius. Une nouvelle réunion est prévue le 20 novembre, a annoncé la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton, soulignant que «beaucoup de progrès ont été accomplis mais certaines questions demeurent».

    Des divergences sont apparues parmi les Occidentaux après que la France eut exprimé de fortes réserves. Laurent Fabius a indiqué ce samedi matin sur France Inter qu’il n’y avait «aucune certitude» à ce stade qu’un accord soit conclu entre Téhéran et les grandes puissances occidentales. D’autant qu’Israël a officieusement fait comprendre qu’il «rejetait totalement» les conditions discutées. L’Iran avait prévenu que, faute d’accord dans la soirée au troisième jour des pourparlers, un nouveau round de discussions serait organisé plus tard. Pas question de prolonger la négociation dimanche, pour le chef de la diplomatie iranienne Mohammad Javad Zarif.

    Paris veut «éviter l’euphorie»

    Mais ce blocage suscite déjà des commentaires dans les capitales européennes. «Il semble que les discussions à Genève n’ont pas lieu avec l’Iran mais au sein du groupe occidental. Ce n’est pas bon», affirme dans un tweet le ministre suédois des Affaires étrangères Carl Bildt. Côté français, on veut «éviter l’euphorie du verre à moitié plein». La délégation française rappelle qu’en 2003 un accord avait été conclu et avait échoué.

    Fabius est resté prudent, notamment le cas du réacteur d’Arak «extrêmement proliférant» et la question de l’enrichissement de l’uranium. «Il y a tout un stock enrichi à 20%, c’est beaucoup. Comment redescendre pour ce stock vers 5%, ce qui est beaucoup moins dangereux?», a-t-il interrogé. Les Occidentaux suspectent Téhéran d’enrichir son uranium pour parvenir à la bombe atomique, ce que dément l’Iran qui assure que son programme nucléaire est à vocation civile. «Si ces questions-là ne sont pas réglées, ce ne sera pas possible», a insisté le ministre français, réaffirmant «vouloir» un accord mais mettant en garde contre «un jeu de dupes». «Nous souhaitons avancer par la négociation mais ça n’avancera que si l’Iran accepte de faire des concessions que lui demande la communauté internationale», avait-t-il prévenu jeudi sur i>Télé.

    Israël «rejette totalement» l’accord discuté à Genève

    Le chef de la diplomatie française Laurent Fabius s’est par ailleurs inquiété des «soucis de sécurité d’Israël et de la région» auxquels il faut être vigilant. L’Etat hébreu a lui mis en garde contre un accord avec l’Iran qui ne permettrait pas de démanteler son programme nucléaire et réaffirmé son droit à assurer lui-même sa sécurité. Les ministres israéliens de la Défense et de la Justice ont appelé samedi les grandes puissances à être intransigeants avec l’Iran et à «ne pas se précipiter». Le ministre Yaalon a appelé à ne pas se laisser «aveugler par l’offensive de charme et de sourires iranienne», en allusion au changement de ton de Téhéran. En début d’après-midi, sous couvert d’anonymat, un haut responsable israélien a d’ailleurs déclaré qu’«Israël rejette totalement l’accord qui se profile entre l’Iran et les grandes puissances et n’est pas tenu par cet accord. (…). A mesure qu’Israël recueille davantage de détails sur l’accord en cours d’élaboration à Genève, sa perplexité augmente sur l’urgence de signer un accord si mauvais pour le monde. (…) Si cet accord est mis en œuvre, l’Iran aura conclu l’affaire du siècle et l’Occident une très mauvaise affaire: l’Iran aura bénéficié d’un allégement significatif des sanctions, sans avoir fait aucune concession réelle dans son programme pour se doter de l’arme nucléaire», s’est-il insurgé.

    Le secrétaire d’Etat américain, John Kerry, a reconnu « qu’il y a encore quelques questions très importantes sur la table qui ne sont pas résolues ». Et  samedi soir, le président iranien, Hassan Rohani, cité par l’agence Irna, appelait encore les puissances à ne pas rater une « occasion exceptionnelle »

     

    Le Colonel dit : se pose alors la question de savoir si François Hollande, qui se rendra en Israël et dans les Territoires palestiniens du 17 au 19 novembre ira chercher les directives sur ce sujet auprès du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, lequel a déclaré qu’Israël déroulerait le « tapis rouge » à François Hollande…..

    Vous reprendrez bien un petit doigt? //RO

     

    http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2013/11/07/nucleaire-iranien-des-progres-lors-des-negociations-a-geneve_3510368_3218.html

     

    http://www.leparisien.fr/international/nucleaire-iranien-aucune-certitude-qu-on-puisse-conclure-selon-fabius-

    09-11-2013-3301201.php

     

    http://lecolonel.net/le-doigt-dhumeur-du-colonel-regis-ollivier-nucleaire-iranien-la-france-est-elle-aux-ordres-disrael/

     

     

     

    En bloquant un accord mal ficelé sur le nucléaire avec l’Iran, Laurent Fabius a confirmé une détermination qui a pris les Américains de court.

     

    Laurent Fabius reçoit Mohammad Javad Zarif au Quai d'Orsay le 5 novembre. © Jacques Demarthon / AFP

    Laurent Fabius reçoit Mohammad Javad Zarif au Quai d’Orsay le 5 novembre. © Jacques Demarthon / AFP

     

    L’accord était tellement attendu avec le nouveau ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, que John Kerry, secrétaire d’État américain, était arrivé à Genève, en suspendant sa tournée au Proche-Orient, pour le signer. Après pratiquement dix ans d’une négociation qui, du temps de Mahmoud Ahmadinejad avait souvent tourné au dialogue de sourds, le groupe onusien des six (États-Unis, France, Grande-Bretagne, Allemagne, Russie, Chine) paraissait avoir trouvé un accord pour encadrer le développement du nucléaire iranien et se prémunir contre ses tentations de se doter de l’arme atomique.

    Les intérêts de Washington

    Et puis, comme Zorro, Laurent Fabius est arrivé samedi soir à Genève. Et, comme jadis Gromyko à l’ONU, il a dit « niet ». Le texte qu’à 22 heures tout le monde s’apprêtait à parapher était renvoyé à 1 heure du matin, dimanche, à des discussions ultérieures fin novembre.

    Pourquoi ce raidissement français, d’autant plus surprenant, selon certains diplomates présents, que la France n’avait pas été particulièrement engagée, ni critique, dans l’élaboration du texte présenté à Genève dans un nouveau round de négociations commencé le 7 novembre ? Les raisons semblent être à la fois diplomatiques et concrètes.

    http://1and1.fr/?kwk=215084488

     

    Depuis l’élection d’Hassan Rohani à la présidence iranienne, Barack Obama veut un accord qui permettrait de suspendre les sanctions économiques qui étranglent l’économie iranienne, mais empêchent aussi les Américains de réinvestir ce marché particulièrement prometteur. Un objectif jugé atteignable à Washington avec une équipe a priori modérée. Et l’optimisme affiché ouvertement, notamment dans une interview au Monde, par le ministre iranien Zarif, découlait des contacts secrets qu’il avait eus avec les Américains avant la rencontre de Genève afin de préparer un texte de compromis.

    Petite revanche

    Or, outre ce cavalier seul, qui en soi pouvait indisposer la délégation française, il y avait dans « le texte initial », comme l’a nommé Fabius, deux points critiques sur lesquels l’Iran n’apportait pas suffisamment de garanties. Et que pourtant Kerry, pressé de conclure, avait laissé inexplicablement passer. Le premier concerne le réacteur d’Arak qui doit, lorsqu’il sera achevé, produire du plutonium, matière fissile qui n’a d’autre usage que militaire. Le second a trait au stock iranien de 185 kg d’uranium 235 enrichi à 20 %, qui peut assez facilement bénéficier d’un enrichissement supplémentaire, soit, en théorie, de quoi armer l’équivalent de deux bombes nucléaires. Fabius a souhaité que cet arsenal potentiel soit dégradé, autrement dit « désenrichi », dans un pays tiers. Une exigence qui a fait remballer dimanche ses dossiers à Javad Zarif « pour consultation de son gouvernement ».

    Une attitude intransigeante qui a également contraint John Kerry à reconnaître, un peu piteusement, sinon que son texte présentait des lacunes, du moins qu’il restait des points à préciser. Petite revanche pour la diplomatie de François Hollande après le camouflet d’Obama sur le dossier syrien : le président français s’était retrouvé brusquement seul à vouloir punir Bachar el-Assad, alors que l’Amérique se ralliait à l’initiative diplomatique russe pour sauver la mise du dictateur syrien.

    Une constante des socialistes

    Comme le souligne le site de la revue américaine Foreign Policy, "le gouvernement socialiste de François Hollande pratique une politique étrangère musclée qui le place parfois à la droite de l'administration d'Obama sur la Libye, le Mali, la Syrie et maintenant l'Iran, ce qui a pour conséquence de faire aujourd'hui de la France le meilleur allié d'Israël en Europe et le deuxième dans le monde après les États-Unis".

     

    Lire la suite

    http://lecolonel.net/nucleaire-iranien-un-parfum-de-revanche-pour-la-diplomatie-francaise/

     

     

    Reçu ceci qui est intéressant (Maroc) :

    Hassan II est juif de mère ainsi que son fils Mohamed VI marié en sus a une juive et éduqué par des rabbins, Mohamed V aussi, parler de la monarchie marocaine ce n’est que de la perte de temps et de salive c’est depuis le XVIIe siècle que l’infiltration juive a commencé. Les monarques marocains, sabathéistes ,ont toujours travaillé pour la main mise par les Rothschild de tout le Maghreb et ont toujours trahi successivement tous les musulmans a commencer par les algériens musulmans durant toute le XIXeme siècle et Abdelkader était aussi un agent juif "adoubé" par les mêmes monarques marocain sur ordre des Rothschild. L’attitude actuelle du premier trafiquant de drogue au Maroc qui est Mohamed VI est que l’Algérie vient de rendre hermétique les frontières Ouest et la drogue ne rentre pratiquement plus en Algérie et c’est cela l’objet de cet article, alors développez-le plus sérieusement, quand au sieur Rami, qu’il aille plus en profondeur sur l’infiltration juive dans son propre pays.   

     

    http://blideodz.wordpress.com/2013/11/11/mais-que-veut-le-schtroumpf-m6-roi-de-pacotille/

     

     

    Comme je l'ai écrit dans un tweet, les nouveaux amis de la France dégénérée sont le Régime voyou, fanatique, "Israël", et puis les Monarchies pétrolières obscurantistes, fondamentalistes, terroristes, enfin les néocons à la sauce Bush. McCain félicite la France (cd)  

    Nucléaire iranien: « Vive la France! », tweete le sénateur américain McCain

    DIPLOMATIE - «La France a eu le courage d'empêcher un mauvais accord sur le nucléaire iranien» a déclaré John McCain...


    http://fr.news.yahoo.com/nucl%C3%A9aire-iranien-vive-france-tweete-s%C3%A9nateur-am%C3%A9ricain-mccain-182008031.html

    Lire la suite sur 20minutes.fr

    Nucléaire iranien: Echec et débat sur le rôle de Fabius

    PAR LA RÉDACTION DE MEDIAPART

    La France a-t-elle fait échouer, par ses positions maximalistes, un possible accord avec l'Iran sur le dossier nucléaire? Paris s'en défend mais ses partenaires n'ont pas caché leur irritation à l'encontre de Laurent Fabius.

    Nucléaire iranien: Fabius est accusé d'avoir bloqué un accord 

    L'Iran désigne ce dimanche la France comme responsable de l'échec des négociations de Genève sur le dossier du nucléaire. Plusieurs autres partenaires européens s'irritent des positions jugées maximalistes de Laurent Fabius.

     

    Alors qu'un accord semblait à portée de main, c'est l'échec. Les négociations sur le dossier nucléaire de l'Iran se sont achevées dans la nuit de samedi à dimanche sans qu'un accord puisse être acté. Le rôle de la France est pointé du doigt par plusieurs négociateurs qui soulignent les positions jugées maximalistes du ministre des affaires étrangères Laurent Fabius, multipliant les conditions à un tel accord. C'est d'ailleurs le ministre français qui est le premier sorti de la salle de négociations pour annoncer qu'il n'y avait pas d'accord, grillant ainsi la politesse à Catherine Ashton, la représentante de l'Union européenne et porte-parole du groupe dit P5+1.

    Les nombreuses expressions publiques de Fabius et ce qui est décrit comme ...

    http://www.mediapart.fr/journal/international/091113/nucleaire-iranien-fabius-est-accuse-davoir-bloque-un-accord

     

    En réalité ce n'est pas 5 + 1, mais 5 contre 1... (note de cd)

    Nucléaire iranien: «Pour exister, Fabius joue la mouche du coche»

    Hourcade ne prend pas en compte le facteur israélien... il a tort. Reste que Saoudiens et Israéliens sont liés, et que les 2 veulent la mort des Etats forts ou chiites de la région, Syrie comme Iran, note de cd

     

    |  Par Pierre Puchot

    Pour le spécialiste de l’Iran Bernard Hourcade, le facteur israélien a peu compté dans l’attitude adoptée par le chef de la diplomatie française qui a fait échouer l’accord avec l’Iran, ce week-end. Les ressorts de la position française sont à chercher dans le lobbying des Saoudiens à Paris ainsi que dans la personnalité de Fabius, qui cherche à « exister » politiquement. Entretien.

    http://www.mediapart.fr/journal/international/121113/nucleaire-iranien-pour-exister-fabius-joue-la-mouche-du-coche

     

     

    Le-printemps-des-sayanims-1


    Le Mossad est capable de provoquer des crises dans le monde arabe, selon un général israélien

     

     

     

    Un laboratoire politique bouillonne dans le Nord de la Syrie

     

     

    A lire :

    En Syrie, la guérilla kurde est prête à résister à toutes les attaques

    .  

     

    Guerre et ingérence en Syrie:

    La nouvelle donne au Moyen-Orient

    100 000 martyrs pour Genève II

     

    http://resistance71.wordpress.com/2013/11/12/guerre-et-ingerence-en-syrie-la-nouvelle-donne-au-moyen-orient/?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter

     

     

    Alors que la Conférence de Genève, en juin 2012, avait fixé les bases de la paix en Syrie, la guerre a repris durant un an et demi. 100 000 morts plus tard, les puissances étrangères qui ont planifié et alimenté le conflit ont fini par admettre leur défaite. Moscou et Washington envisagent donc de réunir une nouvelle conférence à Genève pour leur faire acter la victoire de la République arabe syrienne.

     

    La Conférence de Genève, en juin 2012, devait jeter les bases de la paix en Syrie. À l’époque, l’Otan avait renoncé à bombarder le pays comme elle l’avait fait en Libye, pour ne pas entrer en conflit avec la Russie et la Chine. La France de Nicolas Sarkozy avait négocié le retrait de ses conseillers militaires de l’Émirat islamique de Baba Amr et obtenu la restitution de ses officiers qui avaient été faits prisonniers. Logiquement, on pouvait estimer que l’État syrien avait gagné la partie et que le retour à la normale était proche.

     

    Pourtant, le soir du 30 juin, la France, qui venait d’élire François Hollande à sa présidence, émettait une réserve sur l’interprétation du communiqué final. Selon elle, le gouvernement de transition devant être accepté par toutes les parties, l’accord impliquait le départ définitif du président el-Assad. Une semaine plus tard, le président Hollande recevait à Paris la 3ème réunion des « Amis du peuple syrien » avec en guest star, Abou Saleh, le jeune journaliste de France 24 et d’Al-Jazeera qui avait fait régner la terreur à Homs. Finies les promesses de Sarkozy : puisque la guerre de 4ème génération (celle des mensonges médiatiques) avait échouée, on allait passer à la guerre de type nicaraguayen avec des dizaines de milliers de combattants étrangers.

     

    Ce revirement de la France s’explique à la fois par l’appétit de quelques personnalités de la classe possédante et par la corruption de la nouvelle équipe dirigeante (NB cd, non le revirement voir ici http://www.dailymotion.com/video/xyt8pb_le-drame-francais-c-est-aujourd-hui-un-pays-colonise-par-les-sionistes-r-sistons-video-16_news). 
 Pour certains capitalistes, la crise économique de 2008 marque l’impossibilité de gagner beaucoup d’argent en France compte tenu de l’appauvrissement des classes populaires. Ils avaient donc poussé le président Sarkozy à préparer la guerre en Syrie et ont poursuivi ce projet lorsque celui-ci négociait le retrait français. Leurs intérêts ont été représentés à l’Élysée par le chef d’état-major particulier du président de la République, le général Benoît Puga, maintenu en fonctions par François Hollande. 
 La campagne électorale de François Hollande a été principalement et illégalement financée par le Qatar. Ce minuscule émirat, jadis lié à la France, était gouverné depuis le coup d’État de 1995 par l’ambitieux cheik Hamad. Il autorise en 1999 Exxon-Mobil à exploiter sans limites le gaz du pays. En quelques années, le Qatar devient un géant mondial du gaz et de facto la propriété des Rockefeller. Le président Hollande choisit Laurent Fabius comme ministre des Affaires étrangères car il avait servi d’intermédiaire entre lui et l’émirat. Or, le ministre est ce qu’il est convenu d’appeler « un ami d’Israël ». À ce titre, il va pousser la France à « saigner » la Syrie.

     

    L’attaque fut lancée le 18 juillet 2012 par un attentat qui coûta la vie aux membres du Conseil de sécurité nationale. Il s’en suivit une guerre d’un an et demi qui fit plus de 100 000 morts. Il est convenu de dire aujourd’hui que cette guerre n’aura pas de solution militaire, les Contras étant remplacés au fur et à mesure de leur élimination.

     

    Moscou et Washington parlent aujourd’hui d’une Conférence de Genève 2. En effet, le Royaume-Uni a opportunément été contraint de se retirer par un vote de sa chambre des Communes ; l’émir de Qatar a été contraint par les États-Unis à abdiquer ; la France n’a pas pu maintenir sa pression militaire depuis son opération au Mali ; la Turquie est trop divisée pour mener des opérations de grande envergure. Il ne reste à vrai dire qu’un seul joueur : l’Arabie saoudite.

     

    Riyadh a établi son ministre-adjoint de la Défense à Amman pour y constituer une force de 50 000 mercenaires. Il avait été prévu que le bombardement chimique de la Ghoutta par les Contras avec du matériel turc donnerait le signal d’un retournement de situation. Les commandants alliés se réunirent à Amman pour mettre au point le changement de régime. Puis : rien.

     

    En réalité, de même que Washington a contraint l’émir du Qatar à quitter la scène, de même cette excitation n’avait d’autre but que de contraindre l’Arabie saoudite au retrait. Après avoir hurlé de douleur et annoncé vouloir se venger des États-Unis, les Séoud sont apparemment rentrés dans le rang lorsque John Kerry est venu leur rappeler qu’ils ne sont installés sur leur trône que par la volonté de l’Occident. Dès lors, la Conférence de Genève 2 devrait se tenir soit début décembre, soit fin janvier. Les Alliés des États-Unis devraient enfin y entériner l’accord secret conclu entre Moscou et Washington, il y a un an et demi.

     

    Thierry Meyssan

     

    11 Novembre 2013

     

    url de l’article original:

    http://www.voltairenet.org/article180907.html

     

     

    Alerte ! Israël prêt à forer des puits de pétrole en Cisjordanie

     

     

    (..) Selon les accords d’Oslo, les Israéliens sont tenus de coordonner toute extraction de ressources naturelles en territoire commun avec l’Autorité palestinienne (AP), et d’arriver à des accords sur la façon d’en partager les profits.

    Ashraf Khatib, responsable de l’unité de soutien des négociations de l’AP, affirme que la réserve pétrolière de Meged fait partie de «  toutes les ressources nationales palestiniennes qui sont volées  » par Israël.

     

     


    « Le problème pour nous c’est que l’occupation ce n’est pas que les colonies et la confiscation des terres. Israël tirent aussi des profits, massivement, de l’exploitation de nos ressources. Il y a là beaucoup d’argent pour Israël, c’est pourquoi l’occupation dure depuis si longtemps » a-t-il dit. (..) 

     

    http://www.info-palestine.net/spip.php?article14166

     

    Alerte ! Pendant qu'on nous parle du nucléaire iranien (en taisant celui si dangereux d'"Israël", qui n'a signé aucun Traité international, qui se croit tout permis et qui ose imposer ses vues aux autres), l'Europe se nucléarise ! (cd)

     

    B61-12

    L’Europe (dé)nucléarisée

    Mondialisation.ca, 12 novembre 2013

    Les projecteurs des médias son braqués sur Genève, où sont en cours des entretiens pour dénucléariser l’Iran, qui ne possède pas d’armes nucléaires et adhère au Traité de non-prolifération. Israël reste par contre dans l’ombre, bien que possédant des centaines d’armes nucléaires pointées sur l’Iran et d’autres pays, et n’adhérant pas au  Traité de non-prolifération. Plus encore dans l’ombre reste le fait que les États-Unis, tandis qu’ils sont engagés à Genève à dénucléariser l’Iran, nucléarisent l’Europe en potentialisant les armes conservées en Allemagne, Italie, Belgique, Hollande et Turquie.

     

    Ce sont environ 200 bombes B-61, qui s’ajoutent aux plus de 500 têtes nucléaires françaises et britanniques prêtes au lancement. Selon une estimation basse, il y en a  en Italie 70-90, stockées à Aviano (Frioul) et Ghedi Torre. Mais il pourrait y en avoir davantage, même dans d’autres sites. On ne connaît pas davantage le nombre d’armes nucléaires qui se trouvent à bord des unités de la Sixième flotte et autres navires de guerre qui jettent l’ancre dans nos ports. Ce qu’on sait officiellement c’est qu’à présent les B-61 seront transformées de bombes à chute libre en bombes « intelligentes » qui, grâce à un système de guidage satellite et laser, pourront être larguées à une grande distance de l’objectif.

     

    Les nouvelles bombes nucléaires à guidage de précision, dont le coût prévu est de 8-12 milliards de dollars pour 400-500 bombes, auront une puissance moyenne de 50 kilotons (environ quatre fois la bombe de Hiroshima). (..) . Les pilotes italiens – qui sont entraînés à l’utilisation des B-61 avec les chasseurs Tornado, comme cela s’est fait dans la manoeuvre « Steadfast Noon » qui s’est déroulée à Aviano et Ghedi dans la seconde moitié d’octobre, seront sous peu entraînés à l’attaque nucléaire avec les F-35 armés de B61-12. De cette façon l’Italie viole le Traité de non-prolifération qui l’engage à « ne pas recevoir de qui que ce soit des armes nucléaires ». Et les États-Unis le violent parce qu’ils se sont engagés à « ne pas transférer à qui que ce soit des armes nucléaires ni le contrôle sur de telles armes ».

     

    Mais tout cela ne se voit pas parce que les projecteurs des médias sont braqués sur le show de  Genève.

    Manlio Dinucci

    Édition de mardi 12 novembre 2013 de il manifesto

     

    Traduit de l’italien par Marie-Ange Patrizio


    Copyright © 2013 Mondialisation.ca

     

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