• Alerte ! Le Nouvel Ordre Mondial est un typhon emportant tout (Facteur, Rail..)

     
     
    Vendredi 13 décembre 2013

     

     

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    Adieu notre facteur !

     

    Le Nouvel Ordre Mondial emporte tout...

     

    Par Chantal Dupille

     

     

     

    Je réagis à chaud, après avoir écouté sur le 20 h (Fr2) Pujadas le journaleux attitré du Nouvel Ordre Mondial. Comme le sinistre Attali, il nous conditionne pour nous faire accepter les destructions à venir. Et en souriant, encore ! Il est vrai que le sieur en question fréquente le Club Le Siècle où se retrouvent les pires laquais du Système. Ce petit monsieur si ordinaire est trop heureux de côtoyer les "grands"...

     

    Donc, que nous annonce-t-il, ce jeudi 12 novembre ? Rien d'autre que la mort programmée d'un personnage qui nous est si cher, le facteur, et dans la foulée.. la mort de plein d'emplois, et de nos traditions ! Rien que ça !

     

     

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    J'avoue écouter Fr2 le pire meRdia sioniste non par masochisme, mais pour voir jusqu'où ils iront dans la désinformation, le mensonge, la propagande pour le NWO ou pour les guerres USraéliennes. Et pour relayer, dénoncer, mettre en garde...

     

    Un des dadas de ce Pujadas, est de mettre en valeur le modèle américain qui faute d'Etat social redistributeur, use ses citoyens à travailler jusqu'à la mort, par exemple. On sent qu'il jubile à l'idée de voir ce NWO s'installer...

     

    Or donc, on apprend ce jeudi 12 novembre qu'il n'y aura bientôt plus de facteurs. Ecoutez celui qui prétend nous informer et qui est l'ennemi de nos vies, Pujadas : "90.000 facteurs, un gros HANDICAP". Bah voyons ! Bruxelles oblige, on supprime les facteurs ou au moins, on réduit massivement leur nombre, on supprime les bureaux de poste, c'est bon pour l'emploi, hein ?

     

     

     

     

    Olivier Besancenot http://www.pignonfixe.com/showthread.php?tid=17949&page=4
    [Image: blog%2B-besancenot_facteur%2Ba%2Bvelo.jpg]

     

     

     

     

    Le facteur ne passera plus. Oyez, bonnes gens ! Ce sera à vous de chercher votre courrier, il y aura des boîtes à lettres collectives, tout sera regroupé, le modèle canadien sera généralisé en Europe, et tant pis pour la distance à parcourir pour les plus âgés, tant pis pour la perte du contact humain, la déshumanisation, l'isolement total... Souvenez-vous: Les gares non rentables ont été éliminées. Il n'y a plus que l'argent, le profit qui compte !

     

    Les Services Publics sont condamnés. L'Europe-dictature impose sa loi à tous... Une loi qui doit profiter aux gangsters de la banque, et tant pis si tout est sacrifié ! Même les traditions les plus anciennes, les plus appréciées.

     

    Tiens, au moment où l'UE tente de s'imposer à l'Ukraine, je vois un reportage sur la nouvelle pauvreté en Italie: Professeurs, commerçants, couples, enfants, les voici à la rue, expulsés, affamés, sans soins (pardi ! Il s'agit d'un aspect du plan de dépopulation conçu par les laquais du NWO)... On brade même le patrimoine du pays pour éponger les dettes, un nouveau pauvre le dit clairement : "C'est à cause des plans d'austérité successifs, des nouvelles taxes...".

     

    Réalise-t-on l'horreur de la situation ? Nouvelles taxes pour engraisser une poignée de grands banquiers, d'un côté, et de l'autre, nouvelles pauvretés...

     

    C'est ça que l'UE veut imposer aux Ukrainiens ? Sauve-qui-peut !

     

     

    http://le-paradis-des-anges.forumactif.fr/t5792-insolite-betisiers-boites-aux-lettres-amusantes

     

     

     

    Et pour revenir aux facteurs, dans le même ordre d'idées, on nous annonce que le secteur du Rail, lui aussi, va être livré à la concurrence libre et non faussée. Bref, avec à la clef, licenciements, économies, et... insécurité pour les utilisateurs ! Comme pour notre courrier, dont le prix va augmenter, les délais sont déjà plus longs, et de surcroît nous serons obligés d'être nous-mêmes facteurs !

     

    En voyant tout cela, je repense à la future euthanasie forcée des retraités (que j'ai la première annoncée, il y a 6 ans, mais on ne m'a pas crue, maintenant même le journal Marianne a dénoncé ce projet annoncé par Attali), ou à la mort de la Création, de la Culture, trop coûteuses. C'est le même Attali qui, dans ses Conversations d'Avenir, a dénoncé le coût de l'Opéra, qu'il faudra un jour réduire à un simple piano et à un ou deux chanteurs.

     

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    Alors, il est beau, le NWO ? Quand on sait aussi qu'il travaille à la dépopulation en plaidant soi-disant pour les droits humains, de PMA en GPA et en procréation assistée, de l'enseignement du Gender à la mode unisexe, nous allons droit vers un monde sans hommes ni femmes, vers la procréation scientifique, non naturelle, et vers la mort du mariage, des couples, des enfants, des familles, de l'humain... tout cela pour satisfaire les tenants du NWO préparant un monde où une classe supérieure se servira d'une humanité réduite à la portion congrue (décimée par OGM, mal-bouffe, maladies "modernes", chemtrails, misère, guerres, etc) et asservie.

     

    Nous sommes condamnés à subir l'horreur du NWO ? Non, nous avons le devoir de résister.


    Résistons à l'intolérable. Ensemble ! Et par tous les moyens : En informant, en étant "prophétiques" (en anticipant les événements à venir), en étant autonomes (jardin potager etc), en étant solidaires...

     

    Chantal Dupille

     

    http://chantaldupille.over-blog.com

     

    TAGS : Nouvel Ordre Mondial, Attali, Pujadas, facteur, rail, opéra, culture, résister, services publics, UE, Ukraine, Fr2, euthanasie, le Siècle, emplois, Italie, pauvreté, austérité, dette, dépopulation, Marianne, Gender, procréation, PMA, GPA...

     

     

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    Un article parmi d'autres sur cette belle UE tremplin du NWO !

     

     

    Grèce : La Troïka inflige une politique de «terre brûlée»

    La rédaction
    jeudi 12 décembre 2013

    Pour mieux comprendre pourquoi certains pays sont de plus en plus récalcitrants à rejoindre le « cadavre » de l’UE, voici un éclairage sur la Grèce, sous la forme d’un court extrait d’un entretien avec un observateur averti de la société grecque, qui préfère garder l’anonymat.

     

    Rappelons que les conditions rapportés ci-dessous sont les conséquences de politiques adoptées à coup de gaz lacrymogènes, en 2012, lorsque les autorités européennes sommaient le gouvernement grec de faire tout le nécessaire pour dégager les manifestants de la place Syntagma à Athènes, en 2011 ainsi qu’en février 2012.

     

    Quelle est la situation économique ?

     

    L’effondrement total de la structure de l’emploi – notamment l’effondrement du marché du travail – a créé un chaos social sans précédent en Grèce. Aujourd’hui, 10 % de la population ne bénéficie d’aucune aide sociale, c’est la pauvreté absolue. Bien que les gens ne soient pas complètement exclus du marché du travail, ils survivent en dehors de toute structure d’aide institutionnelle ou sociale, qu’elle soit locale ou gouvernementale. C’est un phénomène nouveau. En même temps, le nombre d’emplois a beaucoup baissé, plus d’un million de personnes ont perdu leur travail en un laps de temps très bref, sans aucun moyen pour y faire face, à part une aide de l’Eglise qui fournit des abris mais surtout de la nourriture, en association avec d’autres agences qui auparavant étaient en conflit avec elle, en tant qu’organisation ecclésiastique et non civile.

     

    Quel impact sur la santé ?

     

    Plus de deux millions de personnes, y compris des enfants, n’ont pas d’assurance maladie. La plupart d’entre eux sont à leur propre compte ou employés de PME qui licencient ou ferment à cause d’un système fiscal erratique. La fiscalité a changé au moins six fois en trois ans, c’est un système très instable. De plus, on ne sait pas très bien où va l’argent. Ce que l’on sait, c’est qu’il sort du pays pour payer la dette exorbitante. De toute évidence, les ressources sont drainées par le système fiscal et le surplus quitte le pays. Cette année, plus de 7 milliards d’euros iront payer rien que les intérêts de la dette. L’aide aux plus faibles et aux handicapés est réduite au strict minimum. Conséquence : des institutions psychiatriques ou autres institutions spécialisées, qui ont résisté pendant 150 ans, sont aujourd’hui en voie d’être fermées parce que le gouvernement les taxe lourdement avec qu’on appelle des « contributions volontaires » pour les besoins spéciaux.

     

    La crise frappe particulièrement les enfants, dont le taux de pauvreté est passé de 24 à 30 % en trois ans. Nous avons une pauvreté de masse, qui se voit notamment dans les écoles, avec des enfants qui ont du mal à se nourrir. Nous avons le lait le plus cher d’Europe : 33 % d’augmentation en trois ans !

     

    La plupart des gens croient que l’on applique de simples mesures d’austérité pour réduire le déficit budgétaire…

     

    C’est logique, mais ce n’est pas la réalité, parce que normalement, quand vous avez un plan de restructuration, vous appliquez aussi l’alternative. Ici, on nous dit qu’il n’y aucune alternative, sinon l’austérité. Comme résultat, on assiste à un exode des jeunes et des personnels qualifiés et à une marginalisation de secteurs entiers de la population. Comment peut-on abandonner des enfants, les taxer, taxer les aides au chômage ? Ne sait-on pas ce que cela implique de vivre ainsi ? Comment arrive-t-on à un si faible pourcentage de personnes touchant le chômage, et pourquoi l’Etat ne parvient-il pas à être cohérent sur qui travaille et ne travaille pas ? Il y a un demi-million de personnes qui travaillent et qui ne sont pas payées.

     

    (…) Quel est le minimum requis pour faire tourner le système ? On a besoin qu’un minimum de services généraux soit fourni. Pour la pauvreté des enfants, par exemple : ils doivent être couverts en matière de santé, on doit garantir qu’ils aillent à l’école. Il y a des droits humains de base comme la nourriture, le logement.

     

    (…) Comment la suspension de ces droits peut-elle être rationalisée comme une chose temporaire dans le but de remplir des exigences d’austérité ? C’est métaphysique. « J’arrête de manger pendant trois ans pour quoi faire ? Est-ce que j’épargne en arrêtant de manger ? » La dépendance de la Grèce en termes d’importations de nourriture se poursuit. Les mesures de la Troïka ont accru les inégalités sociales dans le pays, elles ont creusé l’écart entre ceux qui possèdent et ceux qui n’ont rien.

     

    Basculement dans la clandestinité

     

    (…) La classe moyenne est surtaxée et une grande partie de la population, marginalisée. Afin de satisfaire ses besoins, elle succombe aux sirènes de groupes politiques alternatifs qui se définissent clairement comme des nazis, parce qu’ils leur offrent un soutien moral ou symbolique dans leur vie quotidienne. La rupture totale des protections de l’Etat finit par créer une économie parallèle (…) Il peut s’agir de gangs souterrains criminels, dans la prostitution, la drogue, la sécurité privée, qui se sont répandus à un niveau sans précédent.

     

    Relancer la production

     

    (…) Il n’y a jamais eu de campagne en Europe, par exemple, pour encourager les populations à acheter les produits grecs ; ils disent que les Grecs sont paresseux. Pourtant nous produisons beaucoup de bonnes choses, mais il n’y a pas de marché pour nos produits en Europe. Pourquoi ? Comment peut-on emprunter continuellement sans exporter, ou sans un marché touristique rentable ? La plupart des choses que les touristes consomment en Grèce proviennent de l’étranger.

     

    (…) Le manque de formation professionnelle a créé chez nous une situation particulière, où le pays est devenu un producteur de biens non finis, qui reviennent ensuite de l’étranger sous forme de produits finis. Nous ne transformons rien réellement. Près de 80 % de notre production agricole – coton, tabac, oranges – est exportée. Beaucoup de notre production alimentaire, pourtant suffisante pour le marché national, n’est pas disponible sur le marché dans les grandes villes, car elle est exportée et réimportée…

     

    (…) Certains secteurs s’en sortent, mais ce sont des exceptions. C’est l’insécurité totale. Tout le monde se sent en danger, à cause de l’effondrement du système de santé. Il n’y a pas que les retraités. Quelle société au monde, quel que soit son système, ne souhaite pas une stabilité élémentaire ? En Grèce, ce n’est pas le fascisme que nous avons. Cela va au-delà : même un système dictatorial tente de maintenir les bases de son fonctionnement. Mais aujourd’hui, quand il s’agit de définir le système, tout le monde est déboussolé parce que nous ne savons pas ce qu’il est (…) Je ne sais pas qui est gagnant, mais certainement pas les Grecs !

     

     

     

    http://www.solidariteetprogres.org/actualites-001/article/grece-la-troika-inflige-une-politique-de-terre.html#.UqoJ5TALFUM.twitter

     

     

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